Du psychédélisme dans la roue libre…
Pendant très longtemps, j’ai détesté le Tour de France. La suite
Pendant très longtemps, j’ai détesté le Tour de France. La suite
Le Stade de France existe, Rennet l'a rencontré… De notre envoyé spécial à St Denis, Louis Lefourbe. La suite
En dépit de leur proche consonance avec le médicament de la bandaison garantie, les chutes du Niagara, papa, ça commande difficilement l’émoi. La suite
1987. Signe de leur institutionnalisation, les Pogues réinterprètent « The Irish Rover » (un classique du folklore irlandais) avec les Dubliners (vénérables birbes de la musique traditionnelle d’Erin). Entre les concerts, leur prestation dans le film « Straight To Hell » d’Alex Cox et tout ce qui participe du méchant boxon rock, les Pogues trouvent le temps et l’énergie de fomenter leur troisième album et plus grand succès discographique.
Où le "rédigeur" disgresse courtement (mais lestement!) sur la notion d'automobiles, mêlant Histoire et huile de moteur… Attention aux éclaboussures! La suite
En 2003, je faisais la queue devant l’Olympia Theatre à Dublin pour voir les chicots pourris de Shane McGowan faire une bouillie de paroles qui me faisaient me tortiller d’euphorie et hurler au génie chaque fois je les entendais sur disque.
Dans presque toutes les provinces du Canada, le 1er juillet est une journée de fier déploiement de la feuille d’érable, de rassemblements folkloriques, de visites à mère-grand et de nettoyage à sec des chemises à carreaux. La suite
Où la sociologue en entreprise d’une grosse firme nord américaine perd pied dans sa relation avec les « Homme-computer »… La suite
En 1967, Henri Mendras publiait un ouvrage – sur les transformations de la ruralité – intitulé « la fin des paysans ». Après avoir séjourné quelques années au Québec où les marchés de proximité n'existent plus, je me suis posée cette question: « Connaîtrons-nous un jour la fin des marchés? »
En cette époque guillerette de kärchérisation des esprits, le bon sens dissident réclame des power chords et des slogans séditieux. On s’oriente donc tout naturellement vers le rayon « punk » et on ressort de chez son disquaire avec un album des Dead Kennedys dans le baladeur. La suite